Saturday, December 12, 2009

Etanga!

Beaucoup de choses me rappellent d’Etanga. Ça fait un an et cinq mois que j’ai fini mon stage-étude à Etanga, un coin très rural de la Namibie. Toutes les fois que j’essaie à ignorer ses signes qui me incitent à écrire un petit récit de n’importe quoi sur l’Etanga et la danse qui s’y déroule aujourd’hui et celle qui s’est déroulée pendant mon séjour-là , je recule. Mais maintenant, je ne peux plus résister à tout ça, et j’écrit.

Dans le journal quotidien namibien, « NEW ERA » ou « nouvelle époque » a publié un article sur le changement de vie à Etanga. J’aurais écrit une traduction de l’article si je l’avais trouvé, mais il m’échappe. Des toutes fois, il s’agit des allocations sociales qui ont été déboursées aux gens à Etanga il y a quelques jours. Pratiquement toute le monde est dépendante de cet argent de l’état pour débrouiller car le via traditionnelle basée sur l’élevage des bœufs et des vaches ne plus durable. Les allocations sont dépensées pour acheter du farine de mais, du sucre et d’autres produits alimentaire qui constitue la diète fondamentale de peuple, Himba, Zimba et Tjimba. Une femme Ovahimba de la famille Tjambiru, laquelle qui m’a accueilli dans son petit village-camp pendant mon séjour, a même parlé de gens paresseux qui n’arrivent pas à produire assez pour se nourrir et qui par conséquent achètent toujours du mais. À quel point sont-ils arrivés ? Quel sera l’impact de ce changement radical sur la santé de ces gens ? Du point de vue d’un anthropologue médical, ce changement structurel risque d’apporter de nouveaux défis pour la santé, comme le diabète et d’autres maladies non-communicables lesquelles ces gens ne subissaient pas il y a cents ans. Comme Hélène et Philip Goubier ont constaté eux même chez les Tjambiru où ils ont filmé, le problème de l’abus de l’alcool demeure partout et de tout part dans cette région de la Namibie.
Les gens là, pourtant, continuent à s’habiller traditionnellement, surtout les femmes, puisque le corps de la femme contient et préserve le patrimoine culturel d’un peuple en permettant les femmes de profiter de l’intérêt de touristes auxquelles ils revendiquent dix dollar (quatre vingt euros centièmes) par photo.


Alors, je dois finir ce récit par dire que mes responsabilités domiciles exigent que je cuisine quelque chose pour mon frère, puisque l’heure de diner est déjà passée. Mais, je continue à penser à mes amis Ovahimba, de la famille des artistes – la famille Tjambiru, qui déambulent par les pâturages de Koakoland (le nom de la terre « rouge » avec de l’herbe jaune et forêts éparses de la région de Himba, Zimba, Ovatua et Tjimba ».

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