Sunday, September 5, 2010

Attention à la tension!

Attention à la tension!

Le Blog « Pancho’s Brouillons » à été mis sur pieds pour m’aider à réfléchir à traves l’écriture. Alors, je vais m’en servir maintenant car je me sens au bout de quelque chose inévitable – la perte de ma motivation pour étudier la langue de mon père des mes ancêtres récents africains (je dis récents puisque nous sommes tous africains les hommes), le Oshiwambo. Je ressens que cela soit inévitable en raison du fait que je m’occupe de plus en plus de ma quête pour une bourse d’étude de master en France. Et voila n’est-il point ironique que j’écris ce brouillon en français ?

D’habitude j’étudie l’Oshindonga le matin chez moi en ma chambre (l’un de deux dialectes d’Oshiwambo que on peut étudier formellement en Namibie). J’ai trouvé un livre de méthode de langue, c’est-a-dire un texte complet pour l’apprendre tout seul y compris des exercices dans l’internet. Ce livre-là est aussi gratuit à chacun qui le désire, ce sont des américains volontariats de « paix de corps » à le mettre en ligne pour tout le monde. Ce qui s’est passé ce matin c’était que j’ai du aller voir le directeur du centre culturel franco namibien. Je lui a parlé de bourses pour faire un master en France et je suis tellement content que finalement j’ai la chance de préparer une candidature pour en master en France ! Quelle joie ! En effet, c’est lui qui s’est rapproché de moi une journée quand j’étais la dans le foyer avec mon amie Fabrice Laurentin et il m’a posé la question :

« Est-ce que tu voudrais étudier en France ? »

« Mais oui, » j’ai répondu, d’après ce que je m’en souviens, mais la citation exacte n’est pas importante. Ce qui je veux souligner c’est que depuis cet rendez vous informel, je me suis mis à écrire ma lettre de motivation vu que il m’a dit « ramène-moi une lettre de motivation et ton CV » c’est jour là et aussi et ce qu’il a répété ce matin au cours de notre réunion plutôt décontractée malgré je lui accordais tout le temps le ‘vous’ alors qu’il m’a tutoyé lors qu’il répondait à mes questions.

Effectivement, je ne me plains pas. C’est juste frustrant que je ne parle autant bien l’Oshindonga que français ! En outre, les enjeux autour l’apprentissage d’Oshindonga sont ceux de la famille, de pouvoir me communiquer avec ma grande mère, laquelle j’ai vu cette dernière fin de semaine au nord de Namibie. En revanche, quant au français je l’apprends toujours et j’intensifie mes lectures en cette langue parce que je veux capitaliser sur l’opportunité d’étudier l’épidémiologie en France. Par conséquent, je pense que je vais finir par vendre mon âme au français en oubliant mon patrimoine et en échangeant le capacité de manier bien l’Oshindonga contre la maîtrise d’une langue colonisatrice et hégémonique.

Par contre, l’Oshindonga est aussi hégémonique vu que tous les autres dialectes d’Oshiwambo sauf qu’un n’ont point de même les plus basique ouvrages écrits. Pas de publicités ni des labels en ces dialectes-là les. En Namibie, il n’y a que l’oshindonga et Oshikwanyama dans le domaine public, à la radio, en la télé, dans les journaux.

Alors, maintenant je pense d’avoir parvenu à un point que je peux dépasser, au-delà du quel je n’arrive pas à grimper. Ce brouillon s’arrête ici. Mes études d’Oshindonga vont continuer, mais pas au même rythme, celui du commencent, de la découvert de cette langue tellement différente du français, mais qui partage, d’autre côte, beaucoup de choses en commun.

Il faut que j’aille. Un jour, peut être, je vais reprendre ce brouillon-ci et mes études sérieux d’Oshindonga.

En commencent ce brouillon, j’ai voulu écrire sur la tension entre mon désir d’aller en France pour étudier et d’apprendre l’Oshindonga. Désormais, je me rends compte du fait que cette tension n’existe plus. Je l’ai cassée. J’accepte la domination du français et en l’acceptant je conquiers contre lui.

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