Trade in Body parts (French )

L'une des choses plus frappantes depuis mon arrive en Namibie est la découverte qu'il existe un marche des parties du corps humain. Premièrement, j’ai entendu de mes collègues qu’il est tellement dangereux de marcher tout seul dans les espaces vertes et sauvages comme près d’une rivière. D’abord j’ai pensé qu’on se met au péril en raison des animaux qui y habitent, comme des serpents. Par contre, j’ai compris que le vrai danger est celui des hommes qui tue des gens pour leur déchirer les génitales. Quelle horreur ! Ma collègue Violet nous a raconté comment sa mère échapper aux hommes qui s’approchaient d’elle dans les herbes. La mère a appelé son mari pour faire l’impression qu’il n’était pas loin d’elle et par conséquence, les hommes sont fuit.

Deuxième événement frappant été l’apparition dans un journal hebdomadaire namibien un article sur un corps qui a été récemment retrouvé à nord-est de la Namibie où ces abductions sont communes. Au corps manquait plusieurs doits, un pied, le cœur, les yeux et aussi les génitales. C’était un homme de vingt sept ans qui était une garde. Un groupe des gens est soupçonne de l’avoir tué est les suspects sont des citoyens Namibiens et Zambiens, car ce marché est évidement transnational – la ville où sa se passe est près de la frontière zambienne.

Que puis-je fais ? Je suis tellement ému, négativement, par toute cette histoire. Pourtant, pour les Namibiens qui vivent dans les régions touchées par ce marché atroce, cette une réalité ancienne de laquelle il faut se tenir compte pour survivre aux croyances en magie.

Je me disais « Ça n’a rien avoir avec ce qui m’intéresse, l’épidémiologie et l’anthropologie, mais pourquoi suis-je si fortement pértubé ? » Sono rimasto malissimo a causa di questa storia sordida.
En effet, il y a un lien avec la santé publique vue que les gens qui sont victimes de ce marche sont morts. En plus, quelle est la relation entre la magie africaine qui présume l’importance des parties humaines dans la vie quotidienne et les traitements pour un très nombre des maladies qui sont fait des herbes et légumes traditionnelles ? Autrement dit, est-ce que l’attitude vers la superstition et le fétichisme une analogue de la crédulité en la « médicine » traditionnelle ? Sont-elles deux attitudes dans un continuum des connaissances ou sont-elles complètement singulières ?

Il y a quelques jours, un professeur de l’Université de Namibie a publié un article sur son étude des traitements traditionnels pour les symptômes du SIDA, lesquels les docteurs traditionnels tentent à guérir. Tant au rôle que ces traitements pourraient jouer en Namibie, il espère de exploiter leurs potentiel comme drogues antirétrovirales, en dépit le fait qu’il y a pas encore des preuves scientifique pour attester l’efficacité des traitements. Je vais me servir des documents sur sa recherche qu’il m’a gracieusement fournis.